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Regard critique · Justice sociale

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Gestion des incivilités : bilan de la loi après cinq mois d’application

Le 1er avril 2005 entrait en vigueur la loi1 relative aux sanctions administratives communales. Celle-ci attribuait aux communes la gestion d’une série depetites infractions retirées du Code pénal. Très vite, la pratique a révélé les nombreuses failles du système. Administrations communales, magistratsou directeurs d’AMO critiquent la mesure, alors qu’une nouvelle loi « réparatrice » tente de l’améliorer.

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Fracture numérique : les Corsaires fendent les vagues de l’« analphaNétisme »

Située à Anderlecht, au coeur d’un quartier en pleine revitalisation, l’asbl Les Corsaires1 s’est intéressée dès 1999 àl’outil Internet. Son but : le rendre accessible aux publics dits « mal connectés».

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Fracture numérique : les Corsaires fendent les vagues de l'« analphaNétisme »

Située à Anderlecht, au coeur d’un quartier en pleine revitalisation, l’asbl Les Corsaires1 s’est intéressée dès 1999 àl’outil Internet. Son but : le rendre accessible aux publics dits « mal connectés».

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Des commissions paritaires pour régler les conflits locatifs

Le 1er juillet, trois commissions paritaires locatives ont vu le jour à l’initiative du gouvernement fédéral. Leur mission : régler par la médiationles conflits locatifs.

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L’associatif marollien, en collaboration avec « Carrefour », lance la première supérette sociale

Les supérettes sociales, on connaît, du moins celles organisées par les CPAS mais celle qui s’est ouverte au cœur des Marolles ce 3 mars est d’un tout autre genre. Eneffet, « Les Capucines »1 – c’est ainsi qu’elle a été baptisée en raison de son ancrage rue des Capucines – est le fruit d’une associationentre les magasins Carrefour2 et plusieurs associations marolliennes. Si le concept est connu en France, il s’agit d’une première pour la Belgique. Les produits de marque y sontvendus 80 % moins cher que dans les grandes surfaces. Dans les rayons, rien que des produits classiques, des eaux au café en passant par les conserves ; alcools et cigarettes sont toutefoisbannis. Seule grande différence et de taille, le prix : 60 cents au lieu de 3,07 euros pour un pot de choco, vraiment pas cher ! Mais tout le monde n’y aura pas accès, seules lespersonnes en difficulté pourront y faire leurs courses.

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Rendre l’Internet accessible aux non-voyants

L’accessibilité à Internet pour tous, dans la perspective du développement économique par les nouvelles technologies de la communication (TIC), est unenécessité. Elle est également primordiale, si l’on souhaite éliminer les foyers d’inégalité entre les individus. Le Contrat d’avenir pourla Wallonie actualisé (CAWA) en a fait une de ses vingt priorités1.

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Couveuses wallonnes de petites entreprises : premiers succès engrangés

De demandeur d’emploi à indépendant : le chemin est désormais sécurisé grâce aux couveuses de petites entreprises. Importée de France, laformule a été dupliquée à titre expérimental en Wallonie : Job’In à Liège, le Sace pour Système d’accompagnement à lacréation d’entreprises dans la communauté urbaine de Charleroi et depuis peu Créa Job à Huy-Waremme. Elle devrait ensuite être coulée en décretd’ici à la fin de la législature. Tel est en tout cas le souhait de la ministre wallonne de l’Emploi, Marie Arena.

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Préfinancement des aides FSE : sonnette d’alarme tirée à Bruxelles et solutions annoncées en Wallonie

On a beaucoup parlé préfinancement des aides du Fonds social européen dans les fédérations associatives de l’insertion socioprofessionnelle depuisdébut mars. En effet, alors que les « petits porteurs » wallons se voient annoncer des avancées décisives, la Febisp pique une colère.

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Plus de culture dans le volet citoyenneté de l’Ouest du Brabant wallon ?

Faire de l’animation citoyenne ou culturelle pour vitaliser la citoyenneté de l’Ouest du Brabant wallon et comment l’articuler aux autres volets économique, politique, social, c’estun débat auquel participent une série d’acteurs de cette région en pleine reconversion. AE fait le point avec Luc Schoekens1, Olivier Van Hee2 et DanielRoland3, à quelques jours du colloque « Villes et communes : quelle politique culturelle ? »

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Article 27 : la demande va croissant tandis que les subsides stagnent

Depuis 1999, le projet « Article 27 »1 permet aux plus démunis d’accéder aux spectacles en ne payant qu’une quote-part minimale. Nous avons souvent parlé de cetteinitiative dans Alter Echos. Aujourd’hui, l’asbl tire la sonnette d’alarme : faute de subsides supplémentaires, elle ne peut plus faire face à la demande sans cesse grandissante. Depuis2000, l’association est soutenue par les autorités publiques. Si au départ, elle n’était soutenue que par la seule Région bruxelloise (via la Commission communautairefrançaise), aujourd’hui, par l’intermédiaire d’un contrat-programme, les subventions émanent également de la Communauté française. Soit pour 2003, un totalde 445.000 euros à répartir entre l’antenne bruxelloise et les dix autres antennes créées en Région wallonne, un budget largement insuffisant au regard de lademande… « Article 27 a vécu une année 2002 contrastée selon qu’on se trouve en Wallonie ou à Bruxelles, explique Laurence Adam, responsable de l’antennebruxelloise. En effet, la croissance a continué en Région wallonne où les tickets utilisés sont passés du simple au double, où deux nouvelles cellules ontété créées à Huy et Verviers, où nous avons obtenu un emploi Plan Rosetta en janvier et 2 postes PRIME en fin d’année et où les cellulesrégionales se sont étendues. Néanmoins les moyens financiers de l’asbl n’ont pas augmenté dans les mêmes proportions et il a fallu réduirel’utilisation des tickets à Bruxelles, conséquences : interruption de partenariats, pas de tickets en juillet et août, 50 associations en attente de conventionnement.Actuel-lement, la demande de places est proche du double de ce qu’il est possible de compenser. Contraste encore au niveau des moyens humains. Si à Bruxelles, la stabilité desemplois a permis de développer l’aspect qualitatif de l’action via notamment les ambassadeurs culturels ; en Wallonie, le manque de moyens humains (il manque plus de neuf emploistemps plein), se traduit par une croissance inégale et insuffisante des cellules régionales. Or, on constate que les cellules qui disposent d’un emploi temps plein sedéveloppent plus rapidement et plus efficacement. »

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Le droit à l’intégration sociale à l’épreuve de trois droits constitutionnels

À l’heure où les juridictions sont appelées à élaborer une nouvelle jurisprudence fondée sur l’application de la loi du 26 mai 2002 concernantle droit à l’intégration sociale, l’Association des maisons d’accueil (l’AMA)1, a jugé opportun de rappeler certains droits fondamentaux quisous-tendent l’action des CPAS vis-à-vis des demandeurs du droit à l’intégration sociale. Pour ce faire l’AMA a fait appel au cabinet d’avocats bruxelloisLanglet & Moreno2, spécialisé dans les affaires afférentes à la législation du travail et de la sécurité sociale, qui arédigé pour le compte de l’association une contribution très fouillée sur la question et l’a exposée lors d’une journée organisée parl’AMA le 27 mars dernier.

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L’asbl « Histoire collective » travaille à légitimer la parole des migrants en province de Luxembourg

Basée à Rossignol, dans la province de Luxembourg, l’asbl « Histoire collective »1 développe depuis juin 2001 un projet de recherche sur lesmigrations humaines. Intitulé « Moi Migrant », il consiste à collecter, transcrire et restituer la parole de toute personne s’estimant migrante et vivant en provincede Luxembourg : travailleurs et ex-travailleurs d’origine étrangère, demandeurs d’asile, conjoints de mariage mixte, gens du voyage, résidents de camping, militairesrapatriés d’Allemagne, néerlandophones installés dans la province, travailleurs frontaliers…