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Regard critique · Justice sociale

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Crise du logement à Bruxelles : actions, débats et propositions

Une fois de plus, la crise du logement bruxelloise focalise l’attention. Le secrétaire d’État bruxellois à l’Aménagement du territoire, Willem Draps,formule plusieurs pistes pour la résoudre. Ses solutions se traduisent au travers d’une politique d’Aménagement du territoire et d’une politique foncièreefficaces. Le Collectif COLERe, lui, dénonce l’impossibilité pour de nombreuses familles d’accéder à un logement décent. Les nombreux outils mis enplace ne suffisent pas. Enfin, le RBDH a organisé une Action bidonville dénonçant la situation du logement bruxellois.

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Création d’un Institut des métiers de la ville en Région bruxelloise

Le 3 avril étaient déposés au Moniteur les statuts de l’asbl Formeville, Institut des nouveaux métiers de la ville, à l’initiative de la mission locale deSaint-Josse1. L’ambition : « Offrir des formations professionnelles qualifiantes dans des métiers liés à la gestion des espaces publics en ville, explique Catherine Geleyn,coordinatrice de la mission locale, mais avec une approche globale, qui aille de l’anticipation et de l’observation des phénomènes sociaux urbains à la formalisation de profilsprofessionnels et de contenus de formation, voire même au montage des financements nécessaires à lancer ou à pérenniser ces nouveaux métiers. »

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Pour lutter contre l’exclusion à Seraing, le mot d’ordre d’Optima : observer et réfléchir pour mieux agir1

Optima pour… Observation – Participation – Territoire – Intégration – Méthodologie – Action. Née à Seraing en 1998 àl’initiative d’intervenants de terrain préoccupés par la diversification et l’ampleur croissantes des problèmes des habitants, l’asbl Optima est unobservatoire socio-économique de la santé. Travaillant en partenariat avec plus de soixante organismes provenant de tous les secteurs, elle se définit comme un outil de luttecontre l’exclusion, favorisant le bien-être et l’intégration sociale, culturelle, sanitaire et économique des habitants. Elle s’est dotée d’outilspour produire collectivement et accumuler les connaissances utiles sur son territoire, et pour développer les actions qu’appellent les évolutions sociales qui se dégagentde ses analyses.

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L’Apef fait le point sur la supervision

L’Apef, Association paritaire pour l’emploi et la formation (association des fonds sociaux des secteurs sociaux francophones)1, vient de consacrer une note exploratoire auvaste thème de la supervision. Revue de la littérature, analyse de résultats d’enquêtes précédentes et interviews complémentaires donnent unétat des lieux synthétique replacé dans une perspective historique.

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L’EFT " 1001 choses à faire " fête ses 20 ans

L’entreprise de formation par le travail (EFT) liégeoise  » 1001 choses à faire « 1 a entamé ses activités en 1983, dans l’objectif de former etinitier les jeunes aux métiers du bâtiment (maçonnerie, menuiserie, carrelage…) Le président, Benoît Drèze, note qu’à l’époque, » le chômage est passé de quelque 100.000 à 500.000 unités, touchant de plein fouet les jeunes non qualifiés « . On n’a pas tous les jours 20 ans… Lebilan de cet anniversaire? L’EFT vise un public âgé de 18 à 30 ans, doté au maximum d’un diplôme de l’enseignement primaire. Aujourd’hui, 62%des stagiaires sont belges et 38% étrangers. À l’entrée, 37% ne disposent d’aucune ressource (sont à charge ou passent à travers les mailles del’administration), 26% bénéficient du revenu d’intégration, 22% sont en stage d’attente et 15% chômeurs indemnisés. En 20 ans, plus de 700 jeunesont été formés, dont 60% ont trouvé du travail ou ont entrepris une formation plus pointue :  » Un bilan positif, note Benoît Drèze, car la moyenne du secteurest de 42% « . Après la formation, les stagiaires bénéficient d’un suivi de 6 mois.

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L’asbl « groupe crédit » du CPAS d’Havelange est en liquidation mais ses activités seront pérennisées

Nous vous avions présenté dans un numéro d’Alter Echos datant de 2001 l’association « Groupe-Crédit », une asbl émanant du CPASd’Havelange1 qui avait confectionné un jeu baptisé « Le Crédit en-jeu », outil destiné à sensibiliser et à prévenir lesurendettement.

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Le " Laboratoire ", tremplin pour les jeunes artistes

L’association liégeoise  » Le Laboratoire « 1, asbl depuis un an, fête son premier anniversaire. Le Labo. est une galerie d’art de 170 m2 pour lancer les jeunesartistes de 18 à 33 ans. L’asbl est gérée par un collectif d’une cinquantaine d’artistes (en herbe, au chômage…) dont 5 à temps plein,bénévoles regroupés depuis 2001 pour faire face aux conditions inabordables des galeries professionnelles. La péniche « La Légia », sur le quai du Barbou, ad’abord ouvert ses portes aux artistes, puis « Le Laboratoire » s’est installé dans un bâtiment du quartier populaire d’Outremeuse. Depuis un an, 12 expositions toutesdisciplines confondues (peinture, arts plastiques et de la scène, musique…) ont accueilli quelque 14.000 visiteurs.  » Nous ne faisons pas de censure, explique Nicolas Ghesquière,président du conseil d’administration. Le but est de créer une ambiance plutôt que de privilégier une discipline « .

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Rénovation Lemmens : l’Ulac veut tirer parti de son expérience

En 1996-1997, au début du Contrat de quartier La Rosée, l’Union des locataires Anderlecht-Cureghem (ULAC)1 obtient six maisons de la commune d’Anderlecht par le biais d’unbail emphytéotique. L’ULAC envisage de les rénover pour y créer 13 logements pour de grandes familles2, qui seront pris en gestion par l’AIS Quartiers. Elle profite del’occasion pour monter un projet à trois dimensions : création de grands logements, projet d’insertion socioprofessionnelle et embellissement du quartier.

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Épreuves de sélection : pas de réglementation pour les personnes handicapées de la vue

Le 15 octobre dernier, à l’occasion de la journée internationale de la canne blanche, la (Confédération belge pour la promotion des aveugles et malvoyants), laCBPAM1, se penchait sur les problèmes de la mise au travail des personnes handicapées visuelles.

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Internet et inégalités : une radiographie de la fracture numérique

Selon les derniers sondages disponibles à l’automne 2002, il y avait en Belgique 1,32 million de particuliers et 236 000 entreprises connectées à Internet, ce quicorrespond à environ 3,2 millions d’utilisateurs d’Internet, soit un habitant sur trois. À la lueur de ces chiffres, apparemment encourageants, ce qu’on appelle la« fracture numérique », à savoir cette nouvelle forme d’exclusion qu’engendrerait le développement d’Internet en alourdissant le passif desinégalités sociales, ne serait-elle qu’un épouvantail ?

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L'asbl « groupe crédit » du CPAS d'Havelange est en liquidation mais ses activités seront pérennisées

Nous vous avions présenté dans un numéro d’Alter Echos datant de 2001 l’association « Groupe-Crédit », une asbl émanant du CPASd’Havelange1 qui avait confectionné un jeu baptisé « Le Crédit en-jeu », outil destiné à sensibiliser et à prévenir lesurendettement.

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L’EFT  » 1001 choses à faire  » fête ses 20 ans

L’entreprise de formation par le travail (EFT) liégeoise  » 1001 choses à faire « 1 a entamé ses activités en 1983, dans l’objectif de former etinitier les jeunes aux métiers du bâtiment (maçonnerie, menuiserie, carrelage…) Le président, Benoît Drèze, note qu’à l’époque, » le chômage est passé de quelque 100.000 à 500.000 unités, touchant de plein fouet les jeunes non qualifiés « . On n’a pas tous les jours 20 ans… Lebilan de cet anniversaire? L’EFT vise un public âgé de 18 à 30 ans, doté au maximum d’un diplôme de l’enseignement primaire. Aujourd’hui, 62%des stagiaires sont belges et 38% étrangers. À l’entrée, 37% ne disposent d’aucune ressource (sont à charge ou passent à travers les mailles del’administration), 26% bénéficient du revenu d’intégration, 22% sont en stage d’attente et 15% chômeurs indemnisés. En 20 ans, plus de 700 jeunesont été formés, dont 60% ont trouvé du travail ou ont entrepris une formation plus pointue :  » Un bilan positif, note Benoît Drèze, car la moyenne du secteurest de 42% « . Après la formation, les stagiaires bénéficient d’un suivi de 6 mois.