#assistant social
Alexandre Lesiw: «Redonner sens au travail social»
Alexandre Lesiw a succédé de manière intérimaire à Julien Van Geerstom à la tête du SPP Intégration sociale. Le point, avec lui, sur l’actualité de l’intégration sociale.
Assistants sociaux indépendants: le social à la sauce entrepreneuriale
Être assistant social et indépendant: possible? Certains ont franchi le pas et proposent leurs services, principalement dans le monde du travail. Un phénomène plus développé en France qu’en Belgique.
Prête-moi ta plume, pour écrire ensemble
Les écrivains publics font bien plus que d’aider à la rédaction et à la compréhension de courriers administratifs. Leurs permanences participent à l’émancipation personnelle, leurs actions collectives dénoncent des enjeux de société. Mais ces bénévoles travaillant dans l’ombre sont aussi de plus en plus amenés à accompagner les demandeurs d’emploi, faute d’effectifs du côté des services publics.
Pair-aidant: le vécu, ferment du travail social
Nicolas Hotton a vécu dans la rue. Aujourd’hui, il se sert de ce fragment de sa vie pour accompagner les sans-abri les plus fragilisés dans le logement. Portrait d’un travailleur «pair-aidant». >>> Vous désirez lire notre revue ? Envoyez un mail avec «AE 434 + adresse » à mmx@alter.be
Accueil de Mena: «C’est une lucarne sur le monde»
Des familles volontaires peuvent désormais accueillir des mineurs étrangers non accompagnés. Une geste de solidarité pour de jeunes exilés en quête de repères. Témoignage.
Mixité sociale: remède pas si miracle
La mixité sociale est l’un des objectifs majeurs de la réforme du logement public wallon. Élargir l’accès au logement public tout en renflouant les caisses des sociétés de logement, l’opération semble gagnante à tous les niveaux. Pourtant, la mixité sociale ne suscite pas l’engouement de tous, tant par rapport à son application concrète que par rapport à la philosophie qu’elle recouvre.
Le 123: royale occupation
Depuis 2007, au 123 rue Royale, à quelques pas du Botanique, une communauté hétéroclite a investi un immeuble de bureaux de sept étages et y expérimente, bon gré mal gré, la vie collective. Un laboratoire où se croisent ex-sans-abri, activistes, étudiants, anars et sans-papiers.
SOS-enfants: au chevet des enfants maltraités
Les équipes SOS-enfants, en charge de diagnostiquer et de suivre des situations de maltraitance, sont très sollicitées. Retour sur le travail de ces équipes pluridisciplinaires atypiques.
Marchandisation de l’accueil des demandeurs d’asile: stop ou encore?
L’été dernier, dépassé par l’afflux des demandeurs d’asile, Fedasil ouvre la porte au secteur privé marchand pour la création de nouvelles places d’accueil. Une privatisation qui fait grincer des dents, mais dont l’Agence fédérale se montre satisfaite.
Pluie de plaintes sur Couvin
À Couvin 220 demandeurs d’asile, principalement des jeunes hommes afghans, sont hébergés dans un ancien internat pour filles. Le centre d’accueil, géré par la société Refugee Assist, a fait l’objet de nombreuses plaintes de la part de ses résidents. >Intéressé(e)s par cet article ? Découvrez nos offres d’abonnements sur https://www.alterechos.be/abonnements-alter-echos/
PIIS pour tous : le scénario du pire?
Malgré les mises en garde des associations et des CPAS, le ministre MR de l’Intégration sociale a décidé d’imposer à tous les nouveaux bénéficiaires du revenu d’intégration un «projet individualisé d’intégration sociale», poétiquement appelé PIIS. Willy Borsus n’a pas suivi les recommandations d’une étude qu’il avait lui-même commanditée. Au-delà de l’impact social qu’aura le PIIS, ce choix politique risque de mettre à mal la philosophie même de la loi sur les CPAS en réintroduisant dans l’aide sociale le pouvoir arbitraire des politiques locales.
Un nouveau «jouet» informatique pour les CPAS?
Depuis le premier avril, les assistants sociaux peuvent échanger des données sur les usagers des CPAS via le rapport social électronique. Un nouvel outil informatique qui va faciliter leur travail, comme l’assure le ministre MR Willy Borsus? Les CPAS n’étaient pas demandeurs. Certains y voient même un dangereux moyen de pister les pauvres et de détricoter le secret professionnel.