#assistant social
Le cursus d’assistant social passé au crible
L’Agence pour l’évaluation de la qualité de l’enseignement
supérieur s’est penchée sur le cursus de bachelier assistant social.
« Je ne savais pas où j’allais. Je voulais juste fuir. »
Nadine a fui le Rwanda en février 2007, à l’âge de seize ans. Elle est aujourd’hui en première année de médecine à Namur.
Test osseux, test douteux
Lorsqu’un doute existe quant à la minorité d’un jeune étranger, il est procédé à trois tests médicaux. La fiabilité de ces tests estlargement contestée.
Le tutorat, un sacerdoce éreintant
Lourdeur de la tâche, faiblesse de la rétribution, ingratitude de la mission. Comment s’étonner du manque de vocation pour devenir tuteur de Mena ?
L’accès à la justice en centre fermé ne peut être aléatoire !
Un second état des lieux sur les centres fermés1 réalisé par une dizaine d’associations actives en droit des étrangers vient de sortir.Après la thématique psycho-médicale, c’est à présent l’accès à la justice qui est passé au crible. Un accès enthéorie assuré, en pratique limité…
« Milles facettes » pour parler de toutes les drogues, avec tous les jeunes
L’asbl liégeoise Nadja1 a lancé il y a quelques mois un outil participatif pour aider les profs, les animateurs et même les parents à parler des droguesavec les jeunes. En évitant que les adultes ne passent pour des ringards sur le sujet et en s’appuyant d’abord sur l’expérience vécue des jeunes. Des cycles deformations pour accompagner l’outil sont également lancés aux quatre coins de la Communauté française, grâce à un réseau de partenaires.
Après la maison d'accueil, le suivi post-hébergement
À la sortie de la maison d’accueil, l’accompagnement post-hébergement joue un rôle capital pour tisser un filet de sûreté autour de la personneprécarisée et l’empêcher de retomber dans la rue. Lors du colloque qui célébrait le 40e anniversaire de l’Association des maisonsd’accueil et des services d’aide aux sans-abri (AMA)1, un atelier présentait des expériences de terrain démontrant l’importance de ce service «anti-rechute ».
Précarité : quand usagers et professionnels témoignent
En juin 2006, le CPAS de Charleroi adoptait un plan stratégique destiné à fixer des objectifs à l’horizon 2010 pour remplir au mieux ses missions vis-à-visdes citoyens et de son personnel mais également par rapport à son environnement au sens large. Un des groupes de travail constitué à cette occasion s’estdonné pour projet « une interpellation sociale et politique à partir du vécu ». De ces rencontres est sorti un recueil de témoignages1 de personnesvivant dans la précarité ou confrontées à celle-ci au niveau professionnel. Un recueil qui va bien au delà du témoignage et constitue une véritableinterpellation politique.
Benoît Van Keirsbilck, la jeunesse pour étendard
Directeur du Service droit des jeunes (SDJ1) de Bruxelles depuis plus de vingt ans, rédacteur en chef du Journal Droit des jeunes (JDJ), membre fondateur etprésident de l’organisation Défense des enfants international Belgique (DEI) et membre fondateur du Centre interdisciplinaire des droits de l’enfant (Cide), entre autres,Benoît Van Keirsbilck est une figure incontournable du secteur de l’aide à la jeunesse. Portrait.
Quand l’insertion modifie l’organisation des CPAS…
Dans sa dernière livraison, la toute jeune revue électronique Brussels Studies propose un article d’Isabelle Lacourt, chercheuse au sein du Groupe de recherche sur l’actionpublique (Grap) de l’ULB1. Elle y montre l’importance croissante des missions d’insertion socioprofessionnelle sur l’organisation même des CPAS, dans un paysage marqué par leréférentiel de l’État social actif.
Journée du refus de la misère : le relogement cause d’éclatement familial ?
Ce 17 octobre, pour marquer la Journée mondiale du refus de la misère, LST (Luttes solidarités travail)1 avait rassemblé des familles et des personnes parmiles plus pauvres. Cette année, les témoignages concernaient la politique wallonne du logement, laquelle a parfois des impacts dramatiques pour la structure familiale.
Resto du cœur de Namur et AIS : un combat commun
Depuis plusieurs années, le Resto du cœur de Namur1 et l’AIS Gestion Logement Namur (GLN)2 travaillent en partenariat pour loger les plusdéfavorisés et les préparer à la réalité du marché du logement classique. En sus, l’action du Resto du coeur permet de préserver des poches deloyers abordables dans un quartier en pleine revitalisation.