#Aurore
Du permanent provisoire: l’arme de dissuasion massive des communes
Une nouvelle loi interdit depuis le 1er janvier 2016 toute domiciliation définitive dans les zones de loisirs. Pratiques dissuasives des communes, recours payants, perte de valeur des biens… les temps sont durs pour ceux qui résident en habitat permanent en Wallonie. Pourtant, avec la crise du logement, ils n’ont jamais été aussi nombreux. Un rapport du parlement wallon est attendu à la rentrée.
‘La Raison Cogna !’, festival des rêveurs définitifs qui se cognent au mur du social
Festival irraisonné au quartier Maritime. Il faut bien que la raison cogne car ce monde n’est pas raisonnable. Jusqu’au 22 mai.
Offres restauratrices et aide à la jeunesse : la greffe prend mal
Délinquance juvénile : le modèle restaurateur peut-il prendre dans l’aide à la jeunesse ?
Manger sain quand on est pauvre ? Pas du gâteau !
Les maladies non transmissibles causées par la surnutrition font autant de victimes que la dénutrition1. L’OMS va jusqu’à parler d’une épidémie de l’obésité. Or l’obésité touche davantage les personnes en situation de précarité. Mais quand s’enchevêtrent alimentation et précarité, on s’attaque à une question aux contours plus complexes qu’il n’en a l’air.
« Sans toit mais ensemble » prépare de futures actions
Depuis 2006, le collectif « Sans toit mais ensemble » regroupe plusieurs associations autour de la problématique du logement dans la région de Mons. Il prépareaujourd’hui de futures actions.
Cité d'artistes des Ateliers Mommen : chemin faisant
La cité d’artistes des Ateliers Mommen à Saint-Josse1, rachetée l’an dernier par les pouvoirs publics, est-elle sauvée ? Presque, répondun documentaire sorti en août dernier. L’occasion de faire le point avec les acteurs d’une dynamique patrimoniale, culturelle et sociale innovante.
Intelligence territoriale : les communes travaillent leur Q.I.
Les démarches d’« intelligence territoriale » sont de plus en plus pratiquées par les acteurs locaux. Ce concept désigne, selon l’asblOptim@1, « l’ensemble des connaissances pluridisciplinaires qui contribuent à la compréhension des structures et des dynamiques des territoires pour aider lesacteurs à définir, animer et évaluer des politiques et des actions de développement durable ». Si c’est au niveau local que se développe surtout cetteapproche, c’est parce que, comme l’explique le Réseau européen d’intelligence territoriale, il est perçu comme « l’échelle d’actionefficace pour aborder les problèmes rencontrés par les populations ». « C’est à ce niveau qu’il est possible de mettre en œuvre des solutionsglobales, intersectorielles et participatives pour lutter contre les phénomènes complexes d’exclusion et de pauvreté ». Focale sur deux expériences, àCharleroi et à Seraing, sous l’angle de la participation et de l’emploi.
RAVeLissimo : l’art urbain s’approprie le RAVeL sur l’Ourthe
Ce 4 juin, la coordination des 75 associations du collectif C-paje1 de la Communauté française organisait une manifestation « RAVeLissimo », en boucle de 4 kmsur le RAVeL au bord de l’Ourthe à Liège entre Belle-Ile et Chênée.
Pour lutter contre l’exclusion à Seraing, le mot d’ordre d’Optima : observer et réfléchir pour mieux agir1
Optima pour… Observation – Participation – Territoire – Intégration – Méthodologie – Action. Née à Seraing en 1998 àl’initiative d’intervenants de terrain préoccupés par la diversification et l’ampleur croissantes des problèmes des habitants, l’asbl Optima est unobservatoire socio-économique de la santé. Travaillant en partenariat avec plus de soixante organismes provenant de tous les secteurs, elle se définit comme un outil de luttecontre l’exclusion, favorisant le bien-être et l’intégration sociale, culturelle, sanitaire et économique des habitants. Elle s’est dotée d’outilspour produire collectivement et accumuler les connaissances utiles sur son territoire, et pour développer les actions qu’appellent les évolutions sociales qui se dégagentde ses analyses.