#Babel
Maison BaBel: l’accueil
des «bientôt plus MENA»
Depuis peu, la Maison Babel, située à Forest, accompagne deux MENA. Particularité de ces jeunes: bientôt majeurs, ils vont basculer dans le monde des adultes.
Le festival Bruxelles Babel: « On continue à avoir du sens »
Pour célébrer ses 30 ans d’existence, le festival Bruxelles Babel, qui veut offrir la possibilité aux jeunes de s’émanciper et de se fédérer par le biais de l’art, s’expose au parlement francophone bruxellois du 14 au 29 avril.
Le festival Bruxelles Babel: « On continue à avoir du sens »
Pour célébrer ses 30 ans d’existence, le festival Bruxelles Babel, qui veut offrir la possibilité aux jeunes de s’émanciper et de se fédérer par le biais de l’art, s’expose au Parlement francophone bruxellois du 14 au 29 avril.
BruXitizen : quand les jeunes sont à l’écoute
BruXitizen: forum ouvert pour jeunes Bruxellois
Cohabitation interculturelle : des projets pour moins de tensions
Bien des associations oeuvrent pour plus de mixité culturelle. Une cohabitation harmonieuse entre communautés n’est-elle qu’une naïve utopie ? Comment gérer les conflits dans les différents groupes et ateliers ? La cohésion sociale ne se fait pas en ignorant une réalité souvent compliquée et en pleine évolution.
Le SDF, un être socialisé et structuré
François Casalengo est l’auteur de Traumatisme primaire et aménagement du territoire chez le sujet SDF. Ce mémoire révèle que le sans-abri est bien plussocialisé et structuré qu’on ne le pense.
Le polar pour mieux comprendre la réalité sociale
À l’occasion de la journée portes ouvertes de l’EOS1, section sociale de la Haute École Ilya Prigogine, une conférence-débat étaitorganisée le 10 mai à Bruxelles sur un sujet pour le moins original : « Le polar en tant qu’analyseur du social ». Une petite centaine de personnes avaient fait ledéplacement. Essentiellement des élèves, mais aussi des travailleurs, et anciens de l’école. Pour débattre de l’intérêt du polar commereflet de notre société contemporaine, deux auteurs de romans noirs, Serge Quadruppani et Gérard Delteil, ainsi qu’un philosophe, Aram Mékhitarian, étaientréunis sous l’impulsion de Marc Milants, chargé de cours à l’EOS et spécialiste de la question. Selon le chargé de cours, qui aborde sesséminaires de sociologie par le biais de l’étude du roman noir, ce dernier « agit comme un microscope théorique très souvent critique, incisif et doncparticulièrement révélateur de l’ensemble des problématiques sociales vécues. » Il poursuit en exprimant que « la richesse concrète de cestyle de littérature, longtemps décriée, réside, pour nous, dans son caractère directement en prise avec la réalité sociale et politique ». Ilajoute que « la réalité brute, noire, décrite dans ce genre littéraire, se base très souvent sur les catégories sociales les plus opprimées, surles marges stigmatisées, sur les faits sociaux et politiques les plus cachés ».