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Que devient-on après un article 60 ou 61 ? Des chiffres pour la Wallonie
Les travailleurs de CPAS déplorent régulièrement le manque de « traçabilité » de certaines de leurs actions en matière d’insertion (article60§7 et article 61 principalement). En effet, au terme de leur mise à l’emploi, les personnes cessent d’avoir des contacts réguliers avec les CPAS : soit elles demeurent dansl’emploi, soit elles sont prises en charge par le Forem (en Wallonie). Difficile, dans ces conditions, d’évaluer les conséquences des politiques menées. Une récenteétude, réalisée par la Fédération des CPAS de l’UVCW (Union des villes et communes de Wallonie1) vient remédier à ce déficitd’informations en fournissant un suivi, certes ponctuel et partiel, des personnes ayant connu un processus d’insertion via les CPAS.
Le surendettement en recul au cours de l'année 2004
La Banque nationale publie annuellement une brochure spécifique offrant un aperçu du nombre et de l’évolution des contrats et des personnes enregistrés dans la Centraledes crédits aux particuliers1. Pour l’année 2004, le nombre de personnes en défaut de paiement a régressé – ce qui confirme une tendanceamorcée en 2003. Quant au montant total des arriérés, il est lui à la baisse pour la première fois depuis la constitution de la Centrale.
Le surendettement en recul au cours de l’année 2004
La Banque nationale publie annuellement une brochure spécifique offrant un aperçu du nombre et de l’évolution des contrats et des personnes enregistrés dans la Centraledes crédits aux particuliers1. Pour l’année 2004, le nombre de personnes en défaut de paiement a régressé – ce qui confirme une tendanceamorcée en 2003. Quant au montant total des arriérés, il est lui à la baisse pour la première fois depuis la constitution de la Centrale.
Budget 2006 : économies en vue
C’est traditionnellement au mois de juillet qu’ont lieu les discussions parlementaires sur les ajustements budgétaires aux Régions et aux Communautés. Cesajustements servent à réorienter, en fonction des priorités politiques du moment, les moyens disponibles; et aussi (et même surtout) à vérifier que lesdépenses ne dépasseront pas les recettes. Une manière aussi de prévoir le climat budgétaire de l’année prochaine. Pour la Région wallonne, troiséléments viennent assombrir les perspectives : l’accord au comité de concertation fédéral en juin dernier, la faible croissance et l’application de laméthodologie SEC 95, une nouvelle manière de comptabiliser recettes et dépenses imposée au niveau européen. Conséquence: l’année 2006 sera difficile.À la Cocof, les choses sont plus simples, mais aussi plus dramatiques. L’endettement augmente alors que certains engagements, tels les accords du non-marchand dans le secteur de laCohésion sociale, n’ont pas encore trouvé de financement. Par ailleurs, les projections du Centre de recherche sur l’économie wallonne (Crew)1, publiéesfin juin, montrent que si la croissance ne reprend pas, l’année 2006 sera difficile pour toutes les entités francophones.
Fonds d'investissement, clauses sociales et recours européen : Vande Lanotte veut clôturer en fanfare
Le ministre Vande Lanotte1 obtenait en 99 un portefeuille ministériel et des budgets pour l’économie sociale. Quatre ans plus tard, il est en train de clôturer denouveaux chantiers, comme en témoigne son intense activité en la matière cette quinzaine.
Réforme du Fonds de garantie bruxellois : meilleur accès pour les entrepreneurs à profil social
Le Fonds de garantie bruxellois1 complète sous certaines conditions les garanties insuffisantes des PME, indépendants et titulaires des professions libérales quidemandent un crédit professionnel. Fin 2002, le gouvernement Bruxellois a approuvé une série de nouvelles modalités qui entrent en vigueur à partir de juillet 2003: les entrepreneurs ont désormais un accès direct au Fonds de garantie, un cautionnement automatique est possible, les commissions sur les cautions sont réduites de moitiéet les starters recevront pendant cinq ans une franchise de paiement des commissions.
Plus de crédibilité pour les associations via un compte satellite à la Banque nationale en 2004
La thèse de doctorat en économie récemment défendue avec brio par Sybille Mertens1 à l’Université de Liège (Centre d’économiesociale) souffle un petit vent de reconnaissance pour le « non-marchand ». Ce secteur rassemble principalement les services publics et les associations actives dans le domaine de lasanté, de l’éducation, de l’action sociale, de la culture…
Cinq projets pilotes pour que l’économie sociale monte dans le train de la gestion de la qualité
En 2002, le ministre fédéral de l’Économie sociale lançait un appel à projets pour soutenir des démarches visant à introduire dansl’économie sociale la gestion qualité. Sa sélection a voulu tenir compte à la fois de la variété des entreprises sociales, mais aussi de lavariété des normes qui existent en la matière. Outre l’incontournable ISO, on retrouve donc aussi l’Emas et la méthode EFQM, et un projet en matière dequalité d’emploi. Le point, trois ou quatre mois après le démarrage des cinq dynamiques en cours.
Fonds d’investissement, clauses sociales et recours européen : Vande Lanotte veut clôturer en fanfare
Le ministre Vande Lanotte1 obtenait en 99 un portefeuille ministériel et des budgets pour l’économie sociale. Quatre ans plus tard, il est en train de clôturer denouveaux chantiers, comme en témoigne son intense activité en la matière cette quinzaine.
Service bancaire universel : le Réseau FA veut aller plus loin
La loi qui impose à toutes les banques un service de base universel pour les particuliers entre en vigueur en septembre prochain. Elle ne vide cependant pas la problématique del’accès de tous au service bancaire de base et au crédit. C’est l’analyse que le Réseau Finan-cement alternatif1 propose dans son mémorandum soumis il y aquelques semaines aux partis politiques.
Protection du consommateur face au crédit : du changement dans les lois
« Ouvertures de crédit et surendettement : du neuf en matière de protection du consommateur » : c’était le thème de la « rencontre du vendredi» du 14 mars 2003 organisée par le Service d’Études et de documentations sociales au campus provincial à Namur avec l’intervention de Françoise Domont,responsable de « Budget et Droits » de Test-Achats, et de Pierre Dejemeppe, conseiller au cabinet du ministre de l’Économie, Charles Picqué.
200 000 PC : l’opération e-Day prend l’eau
Début 2002, les ministres Onkelinx et Daems annonçaient l’opération préparée par l’État fédéral pour distribuer, en deuxà quatre ans, 200 000 ordinateurs connectés à Internet aux Belges les plus pauvres. Aujourd’hui, tout reste encommissionné.