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Gouvernement Michel: chronique des premiers pas
Proposer à des travailleurs sociaux d’interroger des acteurs des politiques publiques, voilà bien une démarche qui ouvre les yeux. Surtout à l’heure où les politiques virent décidément à droite, exposant le social plus qu’il ne l’a été depuis bien longtemps.
Les tarifs bancaires à la hausse?
Mi-février, le gouverneur de la Banque nationale de Belgique, Luc Coene, s’est exprimé sur la santé financière des banques au travers de son dernier rapport annuel. Inquiet de la rentabilité des institutions bancaires, il invitait ces dernières à augmenter leurs tarifs bancaires.
Économistes atterrés: «Revaloriser les minimums sociaux»
Ils ne sont plus que trente et un. Mais malgré l’assassinat de Bernard Maris, ce 7 janvier, ils repartent à l’attaque. Dans son «Nouveau manifeste», le collectif de chercheurs, universitaires et experts en économie, qui compte dans ses rangs des pointures telles que Henri Sterdyniak (OFCE) et Frédéric Lordon (CNRS), pourfend les thèses néolibérales et apporte des contre-propositions à la politique de l’offre. Marché du travail, fiscalité, finances publiques… revue de détail en six points clés.
La pression financière sur les CPAS s’intensifie
Réforme des allocations d’insertion, vieillissement de la population, paupérisation… L’avenir financier des CPAS est placé sous pression. Pour éponger leur déficit, la contribution moyenne par habitant est passée à 155 euros en 2014, selon Belfius.
Économistes atterrés : « Les minimums sociaux doivent être revalorisés »
Après la critique, les solutions. Quatre ans après la publication de leur manifeste, qui dénonçait les dérives de l’industrie financière, les économistes hétérodoxes récidivent avec le « Nouveau manifeste des Économistes atterrés » (Éd. Les liens qui libèrent). Ils proposent 15 alternatives à l’austérité, à la précarité, au chômage et à la pauvreté. Une feuille de route concrète pour un projet de « société décarbonée ».
Guillaume Duval : « Marre de cette Europe là ? Moi aussi… »
Marre de cette Europe-là ? D’accord. Dans son nouveau livre, Guillaume Duval, rédacteur en chef du mensuel « Alternatives économiques », explique comment nous pouvons réussir à la changer.
Vincent Guédon : « Faut-il user de la violence pour faire entendre ses droits ? »
« Ce qu’on attend de moi » est le premier livre de Vincent Guédon. Un premier ouvrage lapidaire, sobre, mais qui ouvre la voie à une réflexion sur les « hold up sociaux » qui éclatent en Europe.
Le réchauffement climatique aggrave la pauvreté
La progression de la pauvreté dans le monde est-elle liée au réchauffement climatique ? C’est ce qu’affirme un rapport de la Banque Mondiale, réalisé en collaboration avec l’Institut de recherches sur l’impact climatique de Potsdam, en Allemagne.
De la loi du prospectus à l’agonie de coopératives
Depuis mai 2014, une même personne ne peut plus détenir 5.000 euros dans une coopérative agréée CNC si celle-ci n’a pas émis un prospectus validé par le gendarme du secteur financier, la FMSA. Problème, ce prospectus n’est pas gratuit. Mais alors là pas du tout …
Le microcrédit, bénéfique pour l'emploi ?
Selon une étude menée à la demande de l’agence microStart, 81% des personnes ayant eu recours au microcrédit ont pérennisé leur emploi. Pour les pouvoirs publics, cela représente une économie de 1,09 million d’euros en allocations et prestations sociales diverses.
Microcrédit: le paysage belge en chiffres et en images
Dans le Sud puis dans le Nord, le microcrédit a rencontré un succès certain. En Belgique, Crédal fut le premier à se lancer dans l’aventure. D’autres acteurs ont depuis fait leur entrée en scène. En 2011, le milieu belge du microcrédit a observé un brin crispé l’arrivée de microStart, un acteur privé adossé à la banque BNP Paribas. Notre dernier numéro d’Alter Échos fait le point sur le microcrédit dans son dossier: «Microcrédit: sortez accompagné». En complément à ce dossier: le paysage belge du microcrédit en images et en chiffres.
Coopératives: un petit flyer qui coûte cher
Depuis le 17 mai 2014, pour accueillir un coopérateur avec plus de 5.000 euros de parts, les coopératives CNC (Conseil national de la coopération) doivent publier un prospectus validé par la FSMA (Financial Services and Markets Authority). Une «petite» formalité qui peut leur coûter cher…