La question aurait pu être : Où vivront nos enfants demain ? Ou encore : Est-ce que mes enfants auront un emploi demain ?

Le non-marchand et les ETA ne bénéficieront pas des réductions structurelles de cotisations sociales. Le secteur se crispe et certaines de ses composantes se renvoient gentiment la balle.

La ministre de l’Aide à la jeunesse, Evelyne Huytebroeck, souhaite créer une IPPJ à Bruxelles.

Retour sur le travail des instances de pilotage de l’enseignement qualifiant.

Reportage chez Modus Fiesta. Lieu chaleureux où l’on peut tester ses pilules tout en parlant réduction de risques.

L’intégration de la personne handicapée dans tous les domaines de la vie communale ne demande pas obligatoirement de gros investissements financiers.

Le soutien scolaire proposé par les associations de terrain consiste essentiellement en de l’aide aux devoirs. Mais outre cette aide apportée aux enfants, une place de plus en plus importante est laissée aux parents. Considérés comme des partenaires clés dans la réussite du jeune.

Le grand mouvement de fusion des sociétés de logement public en cours de négociation a repris.

Les contours du futur parcours d’accueil des primo-arrivants à Bruxelles se précisent. La volonté politique est de rendre l’apprentissage de la langue obligatoire à terme. Avec quels moyens ?

Un constat s’impose en Région bruxelloise : il n’y a pas assez de cours de français langue étrangère. Pourtant, la demande est chaque année de plus en plus forte auprès des associations, mais celles-ci doivent refuser du monde ou mettre des élèves sur liste d’attente.

La Cocof n’a pas souhaité définir l’une des trois priorités du programme de cohésion sociale qui est le soutien et l’accompagnement scolaire afin de ne pas en limiter l’offre des différentes associations. L’objectif : permettre de mettre en place différentes approches pédagogiques appropriées à leur public. Ces associations n’aident pas uniquement les jeunes à faire leurs devoirs. Elles sont également chargées d’organiser des activités périphériques, encadrer le parent et maintenir des contacts avec l’école.

Près de 300 associations bruxelloises sont soutenues par le décret de cohésion sociale. Des centaines de personnes ont donc à cœur d’œuvrer pour plus d’éducation, d’intégration et d’un mieux-vivre ensemble. Les responsables de projets se montrent motivés. Mais que ressentent réellement les participants ?