En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.

En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.

En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.

Étroitement liés à l’histoire du féminisme, les espaces en non-mixité s’imposent aujourd’hui dans le secteur des assuétudes ou de la grande précarité. Si l’objectivation des violences sexistes les légitime, ces « no man’s lands » continuent pourtant de susciter la méfiance. Car ces zones de sécurité sont aussi des lieux de prise de conscience, de résistance et de changement.

Huit mois que les salariés et salariées du Delhaize luttent contre la franchise des 128 magasins intégrés, un modèle qui pourrait remettre en cause leurs acquis et leurs conditions de travail. Malgré la confirmation par la direction de la reprise des 51 premiers magasins par un indépendant en octobre – soit un supermarché sur quatre, les delhaiziens et delhaiziennes continuent le combat soutenus par de nombreux citoyens. Alter Échos est allé à leur rencontre lors d’une journée d’action.

Si l’avenir peut se lire dans les lignes de vos mains, vos pieds aussi ont des choses à dire. Il faut d’abord oser les montrer, et ensuite aligner les billets. Les podologues et pédicures médicales proposent des services essentiels mais peu remboursés. Enquête sur l’accès aux soins de santé à Bruxelles, vu par les pieds.

En Belgique, chaque année, plusieurs centaines de personnes en grande précarité ou tout à fait esseulées sont enterrées à charge des communes. Invisibilisés de leur vivant, les sans-ressources continuent de l’être pour leur dernier voyage. Pendant plusieurs semaines, Alter Échos a tenté de retisser le fil de leur récit, et ce, en donnant voix à celles et ceux qui, armés de courage et de volonté, œuvrent pour que chacun, chacune puisse partir dans la dignité.

Ces articles ont été écrits par des jeunes lors d’ateliers Scan-R, le dispositif média innovant d’accompagnement à l’expression des 12-30 ans en Fédération Wallonie-Bruxelles.

C’est une réalité. La jeunesse militante est aujourd’hui principalement issue de classes sociales favorisées. De l’autre côté, s’engager quand on subit soi-même la pauvreté ou des discriminations est plus difficile. Pourtant, bon nombre de collectifs font front pour donner des outils militants à la jeunesse populaire.

À rebours des partis politiques et des réseaux sociaux, des particuliers décident de faire passer des messages ou de s’engager publiquement à travers un art. Focus sur ces initiatives qui permettent aux citoyens d’avancer dans la direction qu’ils espèrent la meilleure.

Résultat d’une collaboration entre DoucheFLUX et Cultures&Santé, ImmenCité est un jeu autour du sans-abrisme, visant à faire prendre conscience des réalités de vie des personnes «sans chez-soi». Plongée dans une séance de découverte d’ImmenCité et de son outil complémentaire Rue de la Bascule.