#Chômeur
200 000 PC : l’opération e-Day prend l’eau
Début 2002, les ministres Onkelinx et Daems annonçaient l’opération préparée par l’État fédéral pour distribuer, en deuxà quatre ans, 200 000 ordinateurs connectés à Internet aux Belges les plus pauvres. Aujourd’hui, tout reste encommissionné.
Fonds de participation : le prêt solidaire évolue
Après un an de prêt solidaire au sein du Fonds de participation et 45 dossiers approuvés, le dispositif a subi des changements importants : le montant maximum empruntable aaugmenté à 12.000 euros, la caution obligatoire est supprimée, les conditions de couplage avec d’autres prêts sont redéfinies et le réseau de structureslocales d’appui est élargi. Les piliers de base restent inchangés : un microcrédit et un accompagnement pour des personnes qui veulent lancer une petite activitééconomique mais qui n’ont pas d’accès au crédit bancaire.
Loi sur le droit à l’intégration sociale : une « mini-évaluation » par des CPAS du Namurois
Ce 9 mai 2003 au Mess provincial de Namur, le Service d’études et de documentation sociales (SEDS)1 avait concocté une « rencontre du vendredi »intitulée « Du minimex au revenu d’intégration sociale : premier bilan de la mise en application de la loi du 26 mai 2002 concernant le droit àl’intégration sociale ».
Professionnalisation dans le secteur non marchand
L’évolution de l’emploi dans le secteur non marchand est le thème d’un séminaire organisé par le Centre de sociologie du travail, de l’emploi et de laformation de l’ULB1. Plusieurs rencontres sont prévues. La première a eu lieu ce mercredi 11 juin et les questions abordées lors de cette scéanceserviront de terreau pour la suite programmée après les mois d’été. L’intitulé de cette première rencontre, « la professionnalisation :histoire d’effets pervers et nouvelles opportunités », a amené les invités chargés de dresser le cadre du débat, à s’exprimer surl’évolution dans le temps des « engagements » dans la vie associative.
Flandre : Les « petits emplois » à la une
Après l’ouverture de la Conférence nationale sur l’emploi le 19 septembre dernier, et avant l’annonce des 3 000 postes perdus chez Ford à Genk, ce sontsurtout les franges du marché de l’emploi qui ont fait débat en Flandre : il a notamment été question de l’économie sociale, du statut des volontaireset de travaux d’intérêt général.
Flandre : le VDAB choisit la facilité
Le VDAB1, équivalent flamand du Forem et de l’Orbem, s’occupe en priorité de ceux qui ont le plus de chances de pouvoir rapidement retrouver un emploi. C’est ce quiressort d’une étude du Hoger Instituut voor Arbeid (Hiva)2, réalisée en 2003 dans six bureaux locaux de l’organisme flamand. Quatre cents consultants du VDAB ontété interrogés par écrit tandis que des centaines de demandeurs d’emploi l’étaient par téléphone. Pour évoquer le sortréservé à ceux parmi les chômeurs qui constituent des cas difficiles, l’enquête de l’Hiva n’hésite pas à parler de « parcage deschômeurs ».
Flandre : rapport critique de l’Hiva sur l’accompagnement des chômeurs
À la demande du gouvernement flamand sortant, le Hoger Instituut voor de Arbeid de la KUL (Hiva) a publié à la mi-juillet une étude d’évaluation sur lesmesures d’accompagnement des chômeurs en Flandre. Selon l’étude, en termes de nombre de demandeurs d’emploi aidés, le VDAB (équivalent flamand du Forem etde l’Orbem) remplit sa mission : 70.000 chômeurs ont bénéficié en 2003 d’un accompagnement, un nombre en constante augmentation et supérieur aux 66.000parcours prévus. Pour le reste, le jugement d’Hiva sur les résultats obtenus est plus nuancé.