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Regard critique · Justice sociale

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Eole : un partenariat entre Agoria et quatre écoles bruxelloises

La fédération bruxelloise d’Agoria (ex-Fabrimetal) et quatre écoles bruxelloises (l’Institut des Arts et Métiers, l’Institut technique Cardinal Mercier,l’Athénée royal Marcel Tricot et le Technisch Instituut Don Bosco) lancent, à partir du début de cette année scolaire, un projet pilote relatif à «l’actualisation des programmes pédagogiques », au « partage des infrastructures » ainsi qu’à « la mise en place de stages pour le corps enseignant et lesélèves dans les entreprises ». Un partenariat qui peut renforcer la qualité de la formation1. Mais encouragera-t-il plus de jeunes à se diriger vers lesmétiers tels que soudeur ou « mécanicien-automaticien » ?

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Directives européennes « marchés publics » : le Parlement recule face au Conseil

Début juillet, le Parlement européen a adopté en seconde lecture deux directives1 relatives à la coordination des passations des marchés publics. Lapremière directive, dite « classique », organise la passation des marchés « normaux ». La seconde, dite « spéciale », concerne les secteurs spécifiques, tels que l’eau, letransport,…

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Les « Saveurs du monde » pour susciter les échanges culturels

Berek algérien, crêpes belges, harira marocain, kebe syrien et köfte turc : l’ouvrage Saveurs du monde compte 24 recettes authentiques, des photos, des anecdotes et despetites phrases entendues lors des rencontres culinaires à la maison de quartier Éclat de Rire1, dans le quartier de Sainte-Walburge à Liège. L’association organisedes cours d’alphabétisation pour quelque 30 femmes immigrées et belges du quartier et une aide scolaire (agrémentée d’ateliers théâtre, football,peinture…) pour 40 enfants âgés de 5 à 13 ans. La coordinatrice de l’asbl, Cécile Horris, explique que « le projet “Saveurs du Monde”s’appuie sur le constat que les femmes, belges ou étrangères, musulmanes ou orthodoxes, sont les chefs coqs dans toutes les cultures : nous avons voulu partir des saveurs de lacuisine pour susciter les échanges et le respect dans le quartier ». Les voisin(e)s des cuisinières et les instituteurs des écoles du quartier (Naniot, Xhovémont etJustin Bloom) ont ainsi été invités à partager les repas préparés en vue de réaliser l’ouvrage : « Ces rencontres ont permis de diminuerles préjugés des enseignants, poursuit Cécile Horris. Par ailleurs, les femmes immigrées sortent peu de chez elles et sont souvent mal à l’aise avec lesinconnus : les repas leur ont donné l’occasion de dialoguer avec l’instituteur de leur enfant ».