Qui achète en ligne en Belgique? Et comment? Profils socio-démographiques, habitudes d’achat, pratiques durables (ou pas), voire risques d’endettement, Alter Échos tente de brosser le portrait des clients de l’e-commerce.

«T’y trouves de tout et c’est pas cher.» C’est sur ce principe qu’Action, la chaîne discount de magasins, s’est construit sa réputation, son succès fulgurant et son chiffre d’affaires. Une entreprise qui roule sur l’or ou sur ses employés ? Un peu des deux, plus un gratuit.

C’est une réalité. La jeunesse militante est aujourd’hui principalement issue de classes sociales favorisées. De l’autre côté, s’engager quand on subit soi-même la pauvreté ou des discriminations est plus difficile. Pourtant, bon nombre de collectifs font front pour donner des outils militants à la jeunesse populaire.

Depuis l’apparition d’Extinction Rebellion, on assiste, en Belgique et ailleurs, à une recrudescence d’actions spectaculaires face à l’urgence climatique. Certaines stratégies de désobéissance civile ne font pas consensus. Une dizaine d’activistes, de chercheurs, de travailleurs d’ONG expriment leur point de vue dans Alter Échos.

Ils sont Belges tous les deux, mais c’est à Paris qu’il a fallu les intercepter. Entre deux interviews pour des médias français, l’homme politique Paul Magnette (en pleine promo de son dernier ouvrage La vie large) et le politologue François Gemenne (qui a récemment publié L’écologie n’est pas un consensus) ont croisé leurs regards pour Alter Échos sur l’écologie et tout ce que celle-ci renferme de politique, de polarité et de conflit.

Ces articles ont été écrits par des jeunes lors d’ateliers Scan-R, le dispositif média innovant d’accompagnement à l’expression des 12-30 ans en Fédération Wallonie-Bruxelles.

Le 26 octobre 2019, une zone à défendre (ZAD) s’installait sur la sablière de Schoppach à Arlon pour s’opposer à un projet de zoning industriel décidé par les élus locaux. Un an après, la lutte de territoire se poursuit et la détermination est toujours la même.

Dans toute leur diversité, les cabanes ont ceci de commun qu’elles manifestent une soif de vivre autrement. Elles sont animées par une même lutte: «Se refaire un séjour quand on n’en a pas, ménager et réaménager des mondes. Ici s’énonce au plus fort le rêve d’une autre vie, d’une autre ville […].»

Faut-il être engagé pour prétendre au titre de festival de l’été ? D’Esperanzah ! aux Solidarités, de nombreux événements musicaux se veulent aussi porteurs d’un projet de société. Entre discours et pratiques, chacun cherche son tempo.

Pour les associations environnementales, la réforme en cours de notre Code civil est l’occasion ou jamais d’inscrire l’enjeu écologique au fronton des valeurs et obligations partagées. L’avant-projet de loi semble pourtant particulièrement frileux sur ce chapitre.