#G4S
Maisons de transition : le privé au cœur de la détention
Petites unités. Accompagnement intensif. Insertion des détenus dans la société. Les vertus des maisons de transition ne manquent pas. Pourtant, les critiques pleuvent. Ces maisons, au lieu de remplacer les prisons, étendent le parc carcéral. Elles ont permis l’implantation d’une entreprise privée commerciale – G4S – dans le monde régalien de la détention. Par ailleurs, un possible conflit d’intérêts fragilise le lancement d’une nouvelle maison, à Louvain.
G4S pour réinsérer des détenus
À Malines, une maison de transition accueillera prochainement une quinzaine de détenus pour les réinsérer en vue de leur libération. Pour les encadrer, ils seront suivis 7j/7 par la société privée G4S. Un choix qui suscite le malaise auprès des associations et des criminologues.
G4S mis à la porte de l’accueil des sans-abri à Anvers
G4S le voulait. Il ne l’aura pas. L’exploitation du centre d’accueil pour sans-abri De Vaart reste dans le giron du Centrum voor Algemeen Welzijnswerk (CAW). Une victoire amère.
Anvers : G4S s’occupera de l’accueil de sans-abri
Le Conseil du CPAS d’Anvers a rendu son verdict : la société G4S care s’occupera de l’accueil des sans-abri au foyer De Vaart. C’est la première fois en Belgique qu’une société de gardiennage sera en charge de l’accueil de sans-abri.
Atos, l’entreprise qui terrorise les handicapés
Au Royaume-uni, Atos, une entreprise française, évalue pour le compte de l’Etat la capacité de travailler des personnes handicapées. Ses méthodes sont désormais au cœur d’un scandale national.