Le néolibéralisme, c’est un peu comme le monstre du loch Ness. Tout le monde en parle mais rares sont ceux capables de retracer ses origines, d’en décrire les contours. Remédier à ce manque, c’est l’objectif que se sont fixé Damien Piron et Zoé Evrard, docteur et doctorante en sciences politiques, dans leur ouvrage «Le(s) néolibéralisme(s) en Belgique». Ils y retracent l’histoire d’un courant économique aussi impopulaire qu’omniprésent, de ses spécificités dans un État à cheval entre ses entités fédérées et l’Union européenne et du rôle ambigu de la gauche à son égard.

D’après une équipe de chercheurs de l’Université du Montana, les personnes de gauche seraient tout aussi dogmatiques et simples d’esprit que celles de droite. Tout dépendrait des sujets abordés.

Le microcrédit se balade dans les travées des pays en développement depuis quarante ans. Quelle évolution pour quelles leçons?

L’exposition « Home Street Home » se tenait à Bruxelles jusqu’au 6 avril. Visite en ville ou dans les entrailles du métro en compagnie de sans-abri, d’agents de la Stib, de passants. Une cohabitation pas toujours facile…

Pour s’assurer d’une couverture médiatique la plus professionnelle et neutre possible, les autorités tunisiennes en charge de l’organisation des électionsont émis des règles strictes. Internet est toutefois relativement épargné, ce qui conforte la crédibilité des blogueurs.

Le parc locatif social wallon disposera-t-il enfin d’un cadastre ? Le Foyer jambois, le Foyer taminois et le Home ougréen sont en train de préparer la phase test.

L’identité est un concept  » barbe-à-papa « . Il se colle et se laisse désagréger par les grands concepts des sciences sociales à partir desquels lechercheur veut essayer de l’approcher, et on en retrouve un peu partout. C’est le point de départ du dernier ouvrage de Jean-Claude Kaufmann, L’invention de soi. Unethéorie de l’identité.1