#Identité
Les blessures se logent à l’endroit de nos silences
D’où je viens ? Qui je suis ? Où je vais ? Depuis une dizaine d’années, le projet Des racines pour grandir invite les élèves de 10 à 15 ans à se questionner sur leurs origines. En mettant des mots sur les maux, en éclaircissant les zones d’ombre, ou tout simplement en prenant le temps d’interroger la mémoire familiale, au fil de l’année scolaire, chacun, chacune apprend à replacer son histoire dans la grande histoire. Pendant plusieurs semaines, de Gembloux à Herve en passant par Molenbeek et Bierges, Alter Echos a suivi le fil de ces éclosions intimes et collectives.
L’arbre de vie
D’où je viens ? Qui je suis ? Où je vais ? Depuis une dizaine d’années, le projet Des racines pour grandir invite les élèves de 10 à 15 ans à se questionner sur leurs origines. En mettant des mots sur les maux, en éclaircissant les zones d’ombre, ou tout simplement en prenant le temps d’interroger la mémoire familiale, au fil de l’année scolaire, chacun, chacune apprend à replacer son histoire dans la grande histoire. Pendant plusieurs semaines, de Gembloux à Herve en passant par Molenbeek et Bierges, Alter Echos a suivi le fil de ces éclosions intimes et collectives.
S’ancrer et s’ouvrir aux apprentissages
D’où je viens ? Qui je suis ? Où je vais ? Depuis une dizaine d’années, le projet Des racines pour grandir invite les élèves de 10 à 15 ans à se questionner sur leurs origines. En mettant des mots sur les maux, en éclaircissant les zones d’ombre, ou tout simplement en prenant le temps d’interroger la mémoire familiale, au fil de l’année scolaire, chacun, chacune apprend à replacer son histoire dans la grande histoire. Pendant plusieurs semaines, de Gembloux à Herve en passant par Molenbeek et Bierges, Alter Echos a suivi le fil de ces éclosions intimes et collectives.
Trouver les réponses derrière les non-dits
D’où je viens ? Qui je suis ? Où je vais ? Depuis une dizaine d’années, le projet Des racines pour grandir invite les élèves de 10 à 15 ans à se questionner sur leurs origines. En mettant des mots sur les maux, en éclaircissant les zones d’ombre, ou tout simplement en prenant le temps d’interroger la mémoire familiale, au fil de l’année scolaire, chacun, chacune apprend à replacer son histoire dans la grande histoire. Pendant plusieurs semaines, de Gembloux à Herve en passant par Molenbeek et Bierges, Alter Echos a suivi le fil de ces éclosions intimes et collectives.
Il était une fois mon identité multiple
D’où je viens ? Qui je suis ? Où je vais ? Depuis une dizaine d’années, le projet Des racines pour grandir invite les élèves de 10 à 15 ans à se questionner sur leurs origines. En mettant des mots sur les maux, en éclaircissant les zones d’ombre, ou tout simplement en prenant le temps d’interroger la mémoire familiale, au fil de l’année scolaire, chacun, chacune apprend à replacer son histoire dans la grande histoire. Pendant plusieurs semaines, de Gembloux à Herve en passant par Molenbeek et Bierges, Alter Echos a suivi le fil de ces éclosions intimes et collectives.