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Le » Laboratoire « , tremplin pour les jeunes artistes
L’association liégeoise » Le Laboratoire « 1, asbl depuis un an, fête son premier anniversaire. Le Labo. est une galerie d’art de 170 m2 pour lancer les jeunesartistes de 18 à 33 ans. L’asbl est gérée par un collectif d’une cinquantaine d’artistes (en herbe, au chômage…) dont 5 à temps plein,bénévoles regroupés depuis 2001 pour faire face aux conditions inabordables des galeries professionnelles. La péniche « La Légia », sur le quai du Barbou, ad’abord ouvert ses portes aux artistes, puis « Le Laboratoire » s’est installé dans un bâtiment du quartier populaire d’Outremeuse. Depuis un an, 12 expositions toutesdisciplines confondues (peinture, arts plastiques et de la scène, musique…) ont accueilli quelque 14.000 visiteurs. » Nous ne faisons pas de censure, explique Nicolas Ghesquière,président du conseil d’administration. Le but est de créer une ambiance plutôt que de privilégier une discipline « .
Le " Laboratoire ", tremplin pour les jeunes artistes
L’association liégeoise » Le Laboratoire « 1, asbl depuis un an, fête son premier anniversaire. Le Labo. est une galerie d’art de 170 m2 pour lancer les jeunesartistes de 18 à 33 ans. L’asbl est gérée par un collectif d’une cinquantaine d’artistes (en herbe, au chômage…) dont 5 à temps plein,bénévoles regroupés depuis 2001 pour faire face aux conditions inabordables des galeries professionnelles. La péniche « La Légia », sur le quai du Barbou, ad’abord ouvert ses portes aux artistes, puis « Le Laboratoire » s’est installé dans un bâtiment du quartier populaire d’Outremeuse. Depuis un an, 12 expositions toutesdisciplines confondues (peinture, arts plastiques et de la scène, musique…) ont accueilli quelque 14.000 visiteurs. » Nous ne faisons pas de censure, explique Nicolas Ghesquière,président du conseil d’administration. Le but est de créer une ambiance plutôt que de privilégier une discipline « .
Flémalle : conflit intergénérationnel dans la cité du Parapluie
Dans la cité sociale du Parapluie à Flémalle, cinq appartements pour personnes à mobilité réduite ont remplacé, au 47, rue des Pommiers, la sallede gymnastique de l’athénée Guy Lang. Les logements, au rez-de-chaussée d’un immeuble de la société d’habitations sociales « La Maison desHommes1 », donnent sur une cour ouverte aux riverains. Les locataires se plaignent « du bruit, des crasses, de la casse et des insultes » des jeunes qui se rassemblent dans la cour.Les habitants du building voisin (n° 49, 28 locataires) craignent aussi l’arrivée de l’hiver et le squat du bâtiment par les ados. Cet été, la commune aordonné l’enlèvement des paniers de basket de la cour et l’échevin de la Jeunesse, Marc Lafontaine, envisage à présent de fermer l’accèsà la cour – en regrettant « l’intolérance de part et d’autre » dans la cité sociale. Des adultes parlent de harcèlement des jeunes, mais lapolice suspecte une éventuelle « sinistrose de personnes âgées ».