#langue
Moins d’argent
pour les chèques-langues ?
Pour attirer davantage de bénéficiaires, le dispositif des chèques-langues, financé par la Région de Bruxelles-Capitale pour améliorer les compétences linguistiques des demandeurs d’emploi, a été revu en profondeur. Paradoxe: les frais liés à ce dispositif ont diminué. «Sur une [...]
Le Chez Nous, café de quartier : c’est chez eux, chez vous, chez qui veut
Les débits de boisson occupent depuis des lustres une place de choix dans le paysage, à la ville comme à la campagne. Lieux de passage, d’échanges, de contact, soupapes entre le boulot et la maison, où l’une des activités [...]
Qu’en aurait pensé Giordano Bruno?
Alter Échos tient enfin son « spécial riches », comme il avait pris l’habitude de le nommer familièrement. Quand on s’intéresse aux riches, il y a plusieurs façons d’aborder la question. On peut parler des riches qui deviennent pauvres. On peut aussi parler des riches vus par les pauvres. Et puis, il y a un autre sujet qui en ces temps de crise a fait couler beaucoup d’encre, ce sont les riches qui trichent. Des sujets variés finalement. À déguster avec une bonne petite frite sauce riche.
Il ne suffit pas de changer les mots pour changer les maux
Fin février, une centaine de volontaires, personnel pénitentiaire, magistrats, avocats, ainsi qu’une poignée de journalistes triés sur le volet, se sont laissé enfermer un week-end dans la maison d’arrêt de Beveren pour tester les infrastructures et la sécurité avant l’inauguration des lieux. Le scénario n’émane pas du patron d’une chaîne locale en quête d’un concept de téléréalité pour animer son prime time, mais de la direction de Beveren elle-même. « Une jeune équipe dynamique qui déborde de créativité », se réjouissait le porte-parole de l’administration pénitentiaire dans la presse.
Au cours de nos recherches pour préparer ce dossier sur le Masterplan, les efforts de communication déployés autour de la construction de ces nouvelles prisons ne nous ont pas échappé. Après Fort Beveren, c’est la prose de la Régie des bâtiments autour de la « prison paysage » de Marche, pour reprendre ses porpres termes, qui nous a chatouillé les oreilles…
Changer les mots ne changent pas les maux
Fin février, une centaine de volontaires, personnel pénitentiaire, magistrats, avocats, ainsi qu’une poignée de journalistes triés sur le volet, se sont laissé enfermer un week-end dans la maison d’arrêt de Beveren pour tester les infrastructures et la sécurité avant l’inauguration des lieux. Le scénario n’émane pas du patron d’une chaîne locale en quête d’un concept de téléréalité pour animer son prime time, mais de la direction de Beveren elle-même. « Une jeune équipe dynamique qui déborde de créativité », se réjouissait le porte-parole de l’administration pénitentiaire dans la presse.
Au cours de nos recherches pour préparer ce dossier sur le Masterplan, les efforts de communication déployés autour de la construction de ces nouvelles prisons ne nous ont pas échappé…
Au lendemain des élections, Alter réaffirme ses convictions
Ce lundi matin, à l’aune des résultats électoraux en Europe et en Belgique, l’Agence Alter réaffirme avec conviction ses lignes directrices, valeurs et visions sociétales, et vous les partage : Engagement, dans une démarche d’éducation permanente, pour la défense des droits économiques, sociaux et culturels.
La relation d’aide dans les métiers de l’humain : plaisir ou souffrance ?
Le 10 octobre dernier, la maison maternelle Fernand Philippe1 située à Wanfercée-Baulet, non loin de Fleurus, fêtait ses 60 ans d’existence. Unanniversaire qui eût pu se faire en petit comité autour d’un gros gâteau mais ce serait mal connaître la maison… Depuis bientôt trente ans, les membres dupersonnel, directrice en tête, consacrent plusieurs heures par semaine à réfléchir en équipe à leurs pratiques, à la manière dont ilsconçoivent leur boulot, aidés en la matière par un psychologue clinicien de renom, Pierre Manil. L’occasion était donc trop belle pour ne pas partager cet espace deréflexion avec d’autres, assistants sociaux, éducateurs, psys et tous les métiers qualifiés des « métiers de l’humain »…
Présidence irlandaise de l’UE : travailler ensemble
Depuis le 1er janvier 2004, l’Irlande assure la présidence du Conseil européen pour la sixième fois1. Une présidence dont les préparatifs ontdémarré en 20012. L’Irlande est le premier à exercer cette mission après la réforme du Conseil européen et du Conseil des ministresdécidée à Séville pour renforcer la cohérence du travail du Conseil et de veiller à la continuité d’une présidence àl’autre. Rarement une présidence se sera ouverte avec un tel contraste entre l’évidence des sujets à traiter et l’incertitude sur la manière de les faireaboutir. Toujours est-il que les quatre principaux dossiers qui seront au menu de la présidence irlandaise3 sont les suivants :