#radicalisation
«Contre la radicalisation, offrons aux jeunes des pistes d’engagement»
Le livre «Mon enfant se radicalise» trouve sa source dans une des très rares initiatives pour prévenir la radicalisation en Belgique: le projet « Rien à faire, rien à perdre ». Créé par la sociologue clinicienne Isabelle Seret et porté dans les écoles par Saliha Ben Ali, la maman d’un djihadiste décédé en Syrie, «RAFRAP» présente les témoignages vidéo de quatre jeunes anciennement radicalisés. Derrière cet outil pédagogique, des centaines d’heures d’écoute, de ces ados un temps séduits par le discours djihadiste, mais aussi de parents d’enfants partis en Syrie. Avec l’aide de son confrère
Alexandre Lesiw: «Redonner sens au travail social»
Alexandre Lesiw a succédé de manière intérimaire à Julien Van Geerstom à la tête du SPP Intégration sociale. Le point, avec lui, sur l’actualité de l’intégration sociale.
Les travailleurs sociaux
face à la radicalisation:
quelles formations proposées?
Comment réagir face à un jeune qui manifeste son envie de partir en Syrie? Ou devant un homme qui refuse de serrer la main aux femmes? Tel est le genre de questions auxquelles sont aujourd’hui confrontés les travailleurs sociaux. Pour les aider à y répondre, Corinne Torrekens, directrice de la spin-off de l’ULB DiverCity, et Myriem Amrani, coordinatrice de l’asbl Dakira, organisent chacune des formations. Nous les avons rencontrées.