#santé

IST: les seniors dans l’ombre?
Les seniors n’ont pas grandi la capote en poche. Et la sexualité des aînés reste un sujet tabou dans notre société. Dès lors, c’est un peu comme si les «50 ans et plus» n’étaient pas concernés par les infections sexuellement transmissibles (IST). Pourtant, les seniors n’en sont pas épargnés… Des campagnes adaptées à ce public sont nécessaires, de même que des formations à destination des professionnels de la santé et des soins aux personnes âgées.

Qui veut sauver Såf Ti ?
Ouverte en 2018, la salle de consommation de drogues à moindre risque de Liège a fait figure de pionnière en Belgique. Elle est pourtant aujourd’hui la cible d’attaques répétées de la part du MR. En jeu: l’absence supposée d’effets de celle que l’on appelle aussi Såf Ti sur la consommation de rue ou l’insécurité. Alors que les élections communales se profilent, Willy Demeyer, le bourgmestre de la Cité ardente, parviendra-t-il à sauver son «bébé»?

Quand les médecins entrent en résistance
Un logiciel par les soignants, pour les soignants. Medispring, c’est la grande aventure lancée en 2018 par une poignée de médecins insatisfaits de la direction prise par l’informatique médicale elle aussi ancrée dans le contexte néolibéral. Leur mobilisation a abouti en une coopérative qui regroupe aujourd’hui un tiers des médecins de Belgique francophone.

Violences sexuelles, entre ados aussi
Depuis le mouvement #MeToo, la parole s’est libérée en matière de violences sexuelles. Pourtant, une réalité semble rester taboue : les agressions sexuelles commises par des mineurs. Les chiffres font pourtant état d’un phénomène d’envergure. Si la protection des victimes reste primordiale, plusieurs structures d’Aide à la jeunesse et de la Santé en Belgique proposent un suivi thérapeutique pour les auteurs adolescents afin d’éviter la récidive.

Qui veut sauver Såf Ti ?
Ouverte en 2018, la salle de consommation de drogues à moindre risque de Liège a fait figure de pionnière en Belgique. Elle est pourtant aujourd’hui la cible d’attaques répétées de la part du MR. En jeu: l’absence supposée d’effets [...]

La roue de l’infortune
Travailler pour une plateforme de livraison entraîne des risques quotidiens pour sa santé. Alors que les législateurs se révèlent incapables de réglementer le secteur et son modèle d’emploi basé sur la fausse indépendance et des assurances défaillantes, les travailleurs de Deliveroo ou Uber Eats restent livrés à eux-mêmes. Le tout pour un salaire de misère.

Pas tous égaux devant le don de sang
En Belgique, quand on est un homme ayant des relations sexuelles avec d’autres hommes, c’est un peu la croix et la bannière pour donner son sang. Il faut en effet respecter un délai d’abstinence sexuelle de quatre mois. Si la mesure a longtemps été justifiée pour des raisons sanitaires, le milieu associatif estime qu’il est aujourd’hui temps de lever les restrictions appliquées aux donneurs homosexuels. Une revendication qui suscite pourtant le débat.

La quadruple peine des drépanocytaires
Avoir une maladie méconnue, ne pas oser le dire, souffrir de douleurs invisibles, être Noir: c’est la quadruple peine des patients atteints de drépanocytose. Caractérisée par une anomalie des globules rouges, cette maladie génétique – la plus répandue en Belgique – touche principalement les afrodescendants. Et révèle la persistance de malentendus culturels et de biais racistes dans les soins de santé.

Agents d’entretien: «Nous sommes les oubliettes de l’hôpital»
Tous les matins aux aurores, Marie, Claire, Olga, Toto et les autres arpentent les couloirs des hôpitaux pour ranger, dépoussiérer, ramasser, désinfecter. Bien qu’ils soient travailleurs de première ligne aux côtés du personnel soignant, leur action essentielle reste pourtant souvent invisibilisée. Alter Échos est parti à la rencontre de ces travailleuses et travailleurs de l’ombre.

Covid long : un parcours de soins coordonné à l’hôpital de Jolimont
En juin, l’hôpital de Jolimont à La Louvière a ouvert une clinique post-Covid. Un parcours de soins coordonnés, pluridisciplinaires et adaptés aux limites, envies et besoins de chacun des 84 patients.

«C’est un espace de liberté»
Direction l’Ardenne. Une fois par mois, le mardi, une centaine de personnes porteuses de handicap de la région de Malmedy se retrouvent pour danser, chanter ou simplement prendre un verre dans une discothèque unique en son genre en Wallonie. L’initiative, née en 2022, est portée par une équipe formidable, composée de bénévoles, d’éducateurs et assistants sociaux de la commune ardennaise.

« Trouver quelqu’un à qui parler »
Direction l’Ardenne. Une fois par mois, le mardi, une centaine de personnes porteuses de handicap de la région de Malmedy se retrouvent pour danser, chanter ou simplement prendre un verre dans une discothèque unique en son genre en Wallonie. L’initiative, née en 2022, est portée par une équipe formidable, composée de bénévoles, d’éducateurs et assistants sociaux de la commune ardennaise.