#santé
Inégalités de santé : faire le pari des territoires
Être au plus près des besoins des citoyens et ramener de la cohérence et de la continuité dans l’offre des services : ce sont les ambitions des approches territoriales dans le champ de la santé. Focus sur la politique bruxelloise et son «Plan social-santé intégré», dont l’un des volets consiste à développer la santé à l’échelle du quartier.
Vers un secteur social-santé « LGBTQIA+ friendly » ?
Comment les structures LGBTQIA+ intègrent les questions sociales dans leurs actions? Le secteur social-santé tient-il compte des spécificités des publics LGBTQIA+? Et si pas, qu’est-ce qui ferait bouger les lignes? Regards croisés entre Anna Devroye, coordinatrice de Prisme, la Fédération wallonne des associations LGBTQIA+, Myriam Monheim, psychologue et psychothérapeute systémique au centre de planning familial Plan F à Bruxelles, et Mélanie Gerrebos, assistante sociale au service social de Tels Quels, association bruxelloise LGBTQIA+.
Violence sur toute la première ligne
Ils sont ambulanciers, pompiers, infirmiers, médecins généralistes. Ils font partie de ces métiers dits «de première ligne» en contact direct avec la population, mais ce contact fait de plus en plus souvent des étincelles. Et si la violence à leur égard était d’abord dirigée contre ce qu’ils représentent?
Sarah Schulman: «ACT UP a réussi à concilier l’utopie et les réformes»
Avec Let The Record Show. A Political History of ACT UP New York, 1987-1993 (Farrar, Straus and Giroux, 2021; non encore traduit en français), Sarah Schulman, romancière, essayiste et militante féministe américaine qui fut membre d’ACT UP, retrace l’histoire de cette coalition engagée avec intelligence et fureur dans la lutte contre le sida, qui a non seulement sauvé des vies mais aussi changé celle des membres qui s’y sont investis.
Facilitateurs en santé : en première ligne avec les citoyens
Les «community health workers» ou facilitateurs en santé accompagnent des personnes, vivant dans des quartiers précarisés, qui rencontrent des obstacles pour accéder aux soins de santé de première ligne. Une fois ces difficultés identifiées, les facilitateurs les orientent vers [...]
Promouvoir une meilleure alimentation sans stigmatiser : une mission impossible ?
Malnutrition, diabète, cardiopathies, accidents vasculaires cérébraux, cancers: pour l’OMS, une mauvaise alimentation constitue, avec le manque d’exercice physique, l’un des principaux risques pour la santé. Comment favoriser de meilleurs choix alimentaires sans pour autant culpabiliser les individus? Interview de Stephan Van den Broucke, professeur en psychologie à l’UCL, dont les recherches portent sur la promotion de la santé, l’éducation des patients et la lutte contre les inégalités de santé.